1er septembre 1998. Poudlard rouvre ses portes. Quelque mois plus tôt, une bataille, celle que l'on appelle la bataille finale, y faisait rage, opposant partisans et adversaires de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. A l'issue de cette terrible bataille, le plus grand mage noir de tous les temps fut vaincu, non sans domages pour pour la plus prestigieuse école de sorcellerie du monde.

La peur ainsi que les tortures infligées et subies ont laissé leurs traces entre ses murs. Lorsque l'on arrive devant Poudlard, on n'y voit, au première abord, qu'un amas de ruine, sombre vestige d'une grandeur passée, et il n'est pas rare que des pans de murs s'écroulent. Quand on regarde les lieux avec plus d'attention, trois tours, composées chacunes de sept étages et formant en triangle équilatéral parfait, se dressent fièrement, délimitant ce qui sera la nouvelle cour intérieure de Poudlard.

La tour centrale, celle que l'on voit en premier lorsque l'on arrive , est la tour principale, dans laquelle se trouvent le hall d'entrée, la grande salle, les cuisines et les salles de cour.

La tour de gauche est le dortoir des filles, auquel on ne peut accéder que par un pont, situé au quatrième étage, faisant la liaison avec la tour principale.

La tour de droite est le dortoir des garçons, qui a, lui aussi, un pont situé au quatrième étage et permettant d'accéder à la tour principale.

Malgré la victoire contre le Seigneur des Ténèbres, un sentiment d'insécurité règne encore sur les lieux, amplifié par la vision des ruines qui entourent le nouveau Poudlard, beaucoup plus petit mais rénomé et totalement repensé par sa nouvelle directrice.

@Clarissa Armstrong, ancienne élève de Poudlard âgée de ving ans, a décidé, avec l'aval de Minerva McGonagall, de prendre la tête de l'école, indignée à l'idée que celle-ci ferme ses portes, ne serait qu'une année.

La sécurité a été renforcée : surveillants à l'entrée des dortoirs, couvre-feu, horaires d'accès aux chambres, etc.

La plus majestueuse école de sorcellerie du monde n'est plus ce qu'elle était !